Après avoir massacré un équipage et pris le contrôle d'un vaisseau, quatre androïdes ultra perfectionnés parviennent à s'introduire dans Los Angeles. Rick Deckard, un agent spécial aussi appelé Blade Runner, est chargé de les éliminer. Officiellement, on ne parle pas d'exécution, mais de retrait.
Match des critiques les meilleurs avis Blade Runner
VS
Blade Runner rêve-t-il d'humains électriques ?
Toi qui crois regarder Blade Runner, ne vois-tu pas que c'est Blade Runner qui te regarde ?
Il se moque quand tu hésites la première fois. Il te voit troublé par Rick Deckard, ce Blade Runner effacé que tu voudrais plus affirmé, plus incisif, il te voit dépaysé par cette longueur contemplative, inhabituelle dans un film de science-fiction. Il s'aperçoit bien sûr que tu t'ennuies un peu entre deux licornes en papier, que tu attends...
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BLADE RUNNER de Ridley Scott
Le film est une adaptation libre du roman de science fiction de Philip K. Dick "Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques?" publié en 1968.
Disons-le de suite ce film est assez unanimement apprécié, souvent considéré comme un chef d'oeuvre du genre.
Pour ma part je regarde toujours ce film avec un certain ennui. Le film manque de climax. Peu de montée d'adrénaline pour le spectateur que je suis. Je trouve que l'aspect thriller ou policier est assez passable. Les scénaristes ont à mon...
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Un Los Angeles lugubre et lavé par des pluies continues en guise de décors, un avenir sombre où tout devient artificiel, même les humains, et toujours du sang coulant à flot dans de sordides ruelles, voilà où nous emmène Ridley Scott lorsqu'il adapte Philip K. Dick.
Dès les premières secondes, le metteur en scène britannique propose de sublimes images, mêlées à une atmosphère...
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Le Discours d’un Roy
[SPOILERS/GACHAGE]
Nombreux sont les spectateurs de "Blade Runner" à jamais marqués par le monologue final de Roy Batty, ce frisson ininterrompu le temps de quelques lignes prononcées par un Rutger Hauer littéralement habité par son rôle. Une tirade habilement altérée par le néerlandais lors d’une lecture par les acteurs peu de temps avant le début du tournage, et prononcée avec une telle...
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Somptueuse vision d'un futur décadent
N'ayant pas lu Do Androids Dream of Electric Sheep? du fameux Philip K. Dick, je ne me risquerai pas à la comparaison avec son illustre reflet cinématographique : Blade Runner ; réduire ce dernier à une simple réflexion de la version papier serait néanmoins malvenu, tant il outrepasse largement le simple carcan imposé par mon euphémisme "illustre"....
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“J'ai vu de grands navires en feu surgissant de l'épaule d'Orion"
Comment aborder un chef d’œuvre ? Qu’est-ce qui fait son unicité ? Enfant, j’ai été enthousiasmé par L’île sur le toit du monde, Le jour le plus long, L’empire contre-attaque ou Les Aventuriers de l'arche perdue, autant de merveilleux souvenirs, mais leur charme a tôt fait de s’évanouir, la fascination a disparu. Hier soir, j’ai revu Blade Runner :...
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Sean Young and the restless...
Je ne sais pas si Blade Runner est l’œuvre d’un visionnaire, comme beaucoup le scandent —malgré le revers révérencieux envers la nouvelle de K. Dick, mais ce qui est certain, indiscutable, juste et justifié, c’est qu’il s’agit de l’œuvre d’esthètes.
Esthètes plastiques, esthètes visuels, esthètes sonores.
Je m’interroge au passage et entre parenthèses, faisant un bon en avant...
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