Agréable surprise que ce "Bone Tomahawk", on sent que S. Craig Zahler veut réellement nous emporter dans cette longue et calme cavale contre quelque chose qui nous dépasse. Les scènes de violences arrivent de manière tellement crues que ça marque à certains moments car la réalisation est vraiment très soignée et les acteurs excellents. Le scénario ne casse pas des briques et ça ne fait pas très peur mais certaines scènes sont tellement écœurantes qu'au final, on rigole à certains moments puis, l'atmosphère retombe et ça devient presque insupportable, c'est ce qui m'a le plus frappé dans ce film. Je le conseille vivement.
Créée
le 2 mai 2018
Critique lue 159 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Bone Tomahawk
Jérémie 19:9 : « Je leur ferai manger la chair de leurs fils et la chair de leurs filles; Ils mangeront la chair les uns des autres Dans l’angoisse et la détresse Où les réduiront leurs ennemis Et...
le 25 juin 2022
51 j'aime
34
Le genre de petite surprise qui fait plaisir. On y va presque à l'aveugle, sans être victime d'une campagne de communication harassante, sans attendre autre chose que de voir les têtes d'affiche...
Par
le 6 mars 2016
39 j'aime
5
Un métrage qui sort des sentiers battus et permet de repérer un metteur en scène talentueux. Premier film remarqué pour S.Craig Zahler (qui en a écrit le scénario) qui prouve que le genre peut se...
Par
le 7 sept. 2017
29 j'aime
7
Du même critique
Pour bien parler de The Endless il faut d'abord comprendre que ce film est la suite de Resolution, sorti en 2012 et qui fait partie d'un univers créé par Justin Benson et Aaron Moorhead, ils sont...
Par
le 1 juin 2019
4 j'aime
Après trois réalisations passées totalement inaperçues, Demián Rugna arrive en force avec son Terrified, film d'horreur argentin avec un budget moindre mais, si on arrive à faire abstraction du fait...
Par
le 10 juin 2019
3 j'aime
Ayant peur que ce film n'ait légèrement vieillit, j'y suis allé sur la pointe des pieds n'en attendant rien de particulier mais étant évidemment favorable à une bonne surprise. Dès les premiers plans...
Par
le 3 août 2020
2 j'aime
