•Cast: les chouchous du moment: #ManuPayet, toujours bien, ici plutôt en détente dans une combinaison à trois attaquants avec #JonathanCohen décidément très à la mode et décisif grâce à son jeu de langue et de gestes hypnotiseurs, et #MrPoulpe pour le coup très très à l’aise, tout en décalage et en passe un peu trop en profondeur. Les mecs s’aiment bien et c’est vrai qu’ils donnent envie de participer à l’aventure.
•Critique: disons le d’office, Budapest ne restera surement pas dans les annales. Mais bon, qui regarde encore les rediffusions de VeryBadTrip? Plutôt fan du talent caché de Manu, des élucubrations de Jonathan ou du potentiel décalé de MrPoulpe, les critiqueurs ne sauraient vous dire du mal de ce film, le tout est juste de savoir pourquoi on y va. Le movie ne nous donne pas une grande leçon d’art ou de vie mais quelque bons moments de parlotte ou de lâchage total des personnages qui peuvent faire du bien. Jonathan Cohen use de son talent d’orateur pour maintenir le rythme du film et il faut bien dire que le mec est très fort pour ça. Désirant aller au bout de l’histoire, #XavierGens ose tenter le coup de raconter la facette personnelle et amoureuse de leur aventure, choix risqué qui casse un peu l’élan de l’ambiance grand délire du film; mais il s’intéresse surtout gentiment à la question de l’amitié. Après tout ces gars ont juste créé l’entreprise permettant à n’importe quel type de réaliser les rêves de son meilleur pote, aussi beaufs soient ils...
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•Avec qui: je pense vraiment que le film est plus fun pour des personnes déjà parties avec crazyEVG, qui retrouveront le genre de conneries qu’ils ont pu voir sur le catalogue •Sans qui: un hongrois qui n’y verra pas forcement les charmes de son pays.
•La réplique: la dédicace à Predator: « contact »
•Note: 13/20_
•Le débat: on croit vraiment au perso de #AliceBelaidi ? Petite amie geek presque trop cool.