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CHEVAL DE MAÎTRE
Spielberg aimerait que L'Amérique ressemble à son oeuvre. Une économie solide de type libérale s'appuyant sur un socle populaire où le bon/mauvais goût ne se discute pas mais où le peuple contribue...
le 22 mars 2018
40 j'aime
20
tout le monde a le droit à l'erreur ! même Spielberg
Mais là je pense qu'on peut quand même parler de navet. J'ai trouvé ce film très nul. Alors que j'adore les chevaux et que j'attendais ce film depuis très longtemps.
Quelques belles images ici et là, notamment de la campagne anglaise, avant guerre bien sûr. La belle histoire du garçon et du cheval, genre conte de fée et puis...c'est tout.
Ça commence par la bêtise du père qui achète sans aucune raison ce cheval aux enchères contre le propriétaire de sa propre ferme, qui s'amuse à monter le prix artificiellement et ainsi le mettre dans l'incapacité de payer ses loyers à venir. Aujourd'hui, on dirait s'amuser à couper la branche sur la quelle on est assis. Faut vraiment être c.. ! Et tout part de là.
Puis toute la suite est à l'avenant, exagérée, invraissemblable, avec des rebondissements incongrus, des coïncidences incroyables, des longueurs, des lourdeurs, des images d'opérette ! Comme celles qui clôturent le film. Qui a déjà vu un coucher de soleil aussi flamboyant ? Il en aura fallu des projecteurs ! Mais fallait bien mettre en valeur cette scène des retrouvailles ! ( puisque tout ce petit monde a naturellement survécu à l'enfer, mais qui en aurait douté ?...)
À oublier...
Quelques belles images ici et là, notamment de la campagne anglaise, avant guerre bien sûr. La belle histoire du garçon et du cheval, genre conte de fée et puis...c'est tout.
Ça commence par la bêtise du père qui achète sans aucune raison ce cheval aux enchères contre le propriétaire de sa propre ferme, qui s'amuse à monter le prix artificiellement et ainsi le mettre dans l'incapacité de payer ses loyers à venir. Aujourd'hui, on dirait s'amuser à couper la branche sur la quelle on est assis. Faut vraiment être c.. ! Et tout part de là.
Puis toute la suite est à l'avenant, exagérée, invraissemblable, avec des rebondissements incongrus, des coïncidences incroyables, des longueurs, des lourdeurs, des images d'opérette ! Comme celles qui clôturent le film. Qui a déjà vu un coucher de soleil aussi flamboyant ? Il en aura fallu des projecteurs ! Mais fallait bien mettre en valeur cette scène des retrouvailles ! ( puisque tout ce petit monde a naturellement survécu à l'enfer, mais qui en aurait douté ?...)
À oublier...
3
Écrit par
Créée
le 24 mai 2014
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