"Dieu n'est pas mort" raconte un affrontement entre un élève chrétien de première année et son professeur de philosophie athée. Celui-ci demandant à ses élèves de signer un papier reconnaissant que "Dieu est mort" se retrouve face à un croyant récalcitrant. Se pensant plus malin il lui propose alors de prouver l'existence de Dieu dans une séries de présentations. Bien sûr, l'élève remportera la confrontation et le professeur mourra, mais aura le temps de déclarer sa soumission à Dieu avant de passer l'arme à gauche (ou à droite, on ne sait plus) : tout est bien qui fini bien... enfin presque.
"Dieu n'est pas mort", a l'égard de son frère jumeau "Jésus l'enquête", est un film nauséabond de bout en bout. Rien d’étonnant venant de Cronk (Rien à voir avec Kronk de Kusco qui est un parangon d’intelligence et d’ouverture d’esprit à côté du réalisateur de ce film). Le DVD a beau nous promettre "un grand film sur la liberté de conscience" ou l’affiche de mettre « nos croyances à l’épreuve » cela ne trompera personne : c'est un étron pseudo-réflexif d'intolérance.
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Homophobe, raciste, méprisant… si Dieu n’est pas mort, avec ce film, la tolérance et l’ouverture d’esprit, elles, le sont. En plus, d’être une menace envers les athées et les musulmans, c’est également une insulte envers tous les chrétiens sains d’esprit. Cette ignoble propagande de haine est réalisée tout au plus correctement, mais il n’y a rien à en tirer artistiquement. Bref, Leni Riefenstahl, elle, au moins, elle avait du talent.