du Malick dark side.
Un film muet et plastiquement splendide. La survie, la fuite, l'errance et la douleur physique déshumanisent l'homme qui, devenu animal, finit par fusionner avec le décor. C'est du Malick dark side...
le 19 juin 2013
17 j'aime
2
Créée
le 11 nov. 2011
Critique lue 221 fois
D'autres avis sur Essential Killing
Un film muet et plastiquement splendide. La survie, la fuite, l'errance et la douleur physique déshumanisent l'homme qui, devenu animal, finit par fusionner avec le décor. C'est du Malick dark side...
le 19 juin 2013
17 j'aime
2
Tout comme 127 Hours, la recette est fort alléchante. Sur le papier, tous les ingrédients sont là pour un plat savoureux : un concept simple mais fort, une chasse à l'homme, de la survie en milieu...
Par
le 12 avr. 2011
17 j'aime
Essential killing, ou l’histoire du verre à moitié plein ou du verre à moitié vide : c’est soit un film trop neuneu plombé par une métaphysique de bazar, soit pas assez radical ni impressionnant à...
Par
le 21 oct. 2022
12 j'aime
1
Du même critique
Le film débute comme une fantaisie absurde et burlesque, une comédie romantique un peu folle sous couvert de totale liberté et de passion. Le début du film est une vraie bulle de champagne, une...
Par
le 6 janv. 2022
27 j'aime
2
Adapté d'un roman de Pete Dexter lui-même tiré d'un fait divers de 1960, un casting de rêve et un réalisateur talentueux qui cherche à confirmer après le remarqué "Precious". Etant afro-américain le...
Par
le 19 oct. 2012
27 j'aime
D'abord on remarque que Eboué tue des vegans mais tape tous les côtés, voir même il vise surtout les arnaqueurs de la mauvaise viande, du produit bas de gamme symbolisé par le "meilleur ami" qui se...
Par
le 28 oct. 2021
25 j'aime