On entre dans une salle au mobilier et aux rideaux assez moches, au lycée Halloman. Le professeur parle d’occultisme et donne un devoir de 150 pages à rendre pour le lendemain. Qui peut écrire un devoir de 150 pages à rendre pour le lendemain ?!? Qui qui qui sont les Snorky ? 150 pages ! Ça m’a choqué ! Certes, c’est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup. Qui est capable de le faire, sachant qu’ils ont un bal de fin d’année à préparer ? (qui sait, certains doivent peut-être s'entraîner pour une compétition de lancer de charentaises en tutu ?)


Ce même professeur, après les cours, demande à Quentin, le héros, petit-fils de l’ancien proviseur Alger Danforth, de lui montrer les pièces en or qu’il a en sa possession. L’une d’elle tombe au sol et ça va déclencher les Enfers ! Eh ouais !


Il est évident que ce n’est pas bon, mais alors pas du tout. Les effets spéciaux sont absolument terribles, les acteurs sont… moyens. Les seuls « moments de grâce », c’est la scène avec des grenouilles possédées et quand une des élèves perd, en quelque sorte, la tête. Un enchaînement de scènes « horrifiques » assez rythmé, mais ça ne le fait pas. En revanche, ça vous fera rire entre amis lors d’une soirée où vous n’aurez pas autre chose à vous mettre sous la dent.

OskarNewon
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le 26 juin 2018

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Oskar Newon

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