Les reliques de l'amour ?
Malgré mes 31 balais (et non usités pour un quelconque match de Quidditch), autant dire que Harry Potter aura occupé une place de choix dans mes lectures depuis le début. Les films ont pris le relais et après une fidèle adaptation dans la première partie du diptyque final, les plus fols espoirs étaient placés dans ce chapitre qui fermerait à la fois un pan de ma vie mais aussi une saga presque fraternelle.
Autant le dire de suite, ce volet est certainement celui qui m'a le plus comblé puisque j'y ai retrouvé la magie naïve des premiers volets de Columbus et la maturité tout aussi naïve de Yates et amorcée ces dernières années. Oui, j'ai vibré lors de l'assaut de Poudlard, et c'est vraiment ce que j'attendais. Si le jeu du trio flirte lui aussi avec une certaine candeur, on reste pris dans l'aventure et le plaisir de ce bout de voyage transpire du début jusqu'à la fin.
A mes yeux, une excellente conclusion et qui occupera certainement une place spéciale dans mes (nos ?) souvenirs : celle d'un moldu ravi d'avoir croisé la route de Rowling.
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