Des résistants polonais fuient les Nazis par les égouts pendant la bataille de Varsovie en 1944.
Ils deviennent tous fous, asphyxiés par les vapeurs fécales, la peur de mourir, la claustrophobie.
Tous meurent, comme annoncé au début. Le commandant s'en sort, mais flingue son second qui lui disait depuis des lustres que la troupe les suivaient, pour continuer d'avancer, pour sauver sa peau à lui. Alors le commandant redescend dans les égouts, son flingue à la main, pour chercher ses hommes, tous perdus, morts ou timbrés. Sacré happy end.
Créée
le 17 déc. 2019
Critique lue 249 fois
D'autres avis sur Ils aimaient la vie
Second film réalisé par Andrzej Wajda, Kanal raconte comment un groupe de résistants polonais se terre dans les égouts de Varsovie afin d'échapper aux soldats allemands durant l'insurrection de la...
Par
le 3 juil. 2021
4 j'aime
3
Très beau film sur les résistants polonais, plein de désespoir, ambiance sombre. Kanal commence par montrer les résistants qui tentent de repousser les Allemands d'un immeuble délabré, on fait...
Par
le 20 déc. 2012
3 j'aime
Cendres et Diamant, le premier long-métrage vu de Andrzej Wajda (sorti l'année suivante), n'était déjà pas un sommet d'optimisme et de joyeuseté, en prenant pour cadre, déjà, les derniers temps de la...
Par
le 4 févr. 2022
2 j'aime
Du même critique
Des résistants polonais fuient les Nazis par les égouts pendant la bataille de Varsovie en 1944. Ils deviennent tous fous, asphyxiés par les vapeurs fécales, la peur de mourir, la claustrophobie...
Par
le 17 déc. 2019
Un soir à la cour de Rome, un noble défie Casanova de baiser plus de fois en une heure que son cocher, connu localement pour être un vrai quetard. Commence alors le "duel des quatre couilles", scène...
Par
le 17 déc. 2019
Énorme tension, comme Polanski sait faire. Chouette scène d'ouverture, un long panorama sur New York qui part dans tous les sens, zoom et dézoom.
Par
le 15 déc. 2019
