In the Mood for Love ou comment décrire l'infinie mélancolie de ce qui est, de ce qui n'est pas, de ce qui sera jamais et de ce qui ne sera bientôt plus. Le temps s'y écoule lentement mais inexorablement. Alors, pour apprécier un peu plus la beauté des acteurs, des costumes et des décors, tu arrêtes l'image et tu te rends compte que, peu importe le moment où tu la figes, la photo de Christopher Doyle reste sans faille dans sa composition, viscérale et émouvante. Et tu refais partir le film parce que bon sang, cette BO...
kea
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le 25 nov. 2010

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