J'ai tout simplement adoré et j'aime toujours autant Jeu d'enfant.
La première partie du film où l'on ne voit jamais vraiment la poupée en action est tout simplement débordante de tension et de frisson.
A un tel point qu'on aurait pu (si le film ne visait pas le grand public) y concevoir une trame narrative alternative où Andy, ayant eu vent de l'histoire de Charles Lee Ray aux informations et étant soudainement frappé par la folie, serait en fait le véritable assassin.
Ce qui faisait pour moi la force d'Alien de Ridley Scott, c'était qu'on ne voyait quasiment jamais le monstre clairement mais plutôt qu'on le devinait jusqu'à la fin du film. Je pense que la première partie du film de Mancini réussit aussi cette prouesse technico-narrative.
*** J'ai écrit quelques chapitres d'un Roman prequel de Jeu d'enfant. C'est lisible sur ma page Facebook intitulée Le cache cache de l'âme.
Les intéressés trouveront facilement.
Je posterai le second chapitre si j'arrive à obtenir suffisamment des reactions.
A bientôt les braves gars..