
...version anime japonais. La puissance évocatrice du bouzin, sa pesante mélancolie, son habile équilibre entre l'improbable (les armures), la naïveté (le "petit chaperon rouge") et le "crédible mais flippant parce que pas si uchronique que cela" (l'autoritarisme contre lequel on ne peut pas lutter) en font un grand film, malgré son exaspérante lenteur.