Joy, ou la femme qui gravit les échelons ... en vendant un balai ! Vive l'image de la femme ! Ce qui me plaisait dans la bande-annonce était de voir la façon dont elle allait se battre pour son projet. Mais quel projet ? Et puis quelle famille ? Tout est superficiel, à gros traits, stereotypé. Pendant trois quarts du film, elle se prend des bâtons dans les roues, sa famille est un énorme poids pour elle et tout ce qui vient se mettre en travers de son chemin est prévisible et fatigant. Wahou, voir une femme autonome, encaisser les coups bas et avancer, "quelle force", pourrait-on dire ! La lourdeur des traits de ce film empêche tout plaisir de voir avancer le scénario. La narratrice grand-mère qui croit en sa petite-fille jusqu'au bout, classique. La femme qui gère comme une cheffe (et c'est étonnant !), classique. Et des tartines, des tartines de clichés américains : la musique héroique, le retournement de situation prévisible, la femme fatale qui réussit, les histoires de buisness "super importantes", la femme qui choisit son style pour commencer dans la vie, ... Mais merde quoi, Hollywood, avance avec ton temps. Tu nous ressors du 50's là. Ou même rien enfait. Tu crées des navets. Tu me fatigues. Les navets comme ça, ça me fatigue ...

Lagertha-du-14
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le 21 déc. 2016

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Lagertha-du-14

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