A voir, ne serait ce que pour la belle Jennifer Lawrence.

Ou le rêve américain devient un cauchemar, un début intéressant décrivant un univers sociologique et familial étrange, qui nous donne un regard d’ethnologue, nous compatissons pour JOY, les difficultés des affaires la rende belle et solaire malgré la noirceur de son environnement.
Il suffit de croire à un balai magique pour que le rêve américain se réalise, on se laisse prendre jusqu'à la dernière partie, qui sonne comme l'hallali du veneur, là c'est la mise à mort du film avec son apogée lorsque notre héroïne devient enfin milliardaire... Vive l'Amérique ou on peut naitre fauché mais grâce à la persévérance et la propreté, vivre les soap opéras tant moqués dans le film.
Mais il manque à cette fin le chant du Crooner pour nous achever à la guimauve.

eupalinos06
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le 13 janv. 2016

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