dans la filmographie de Tarantino, entre art du sample ou pillage pur et simple, le film surf sur le old school jusqu'à l'overdose.
Tarantino s'inspire, en gros, des films sanglants de Chang Cheh et ses films d'arts martiaux de Hongkong, ou bien encore des polars pops du Japonais Suzuki, sans jamais approcher les originaux.
J'ai du mal à comprendre cette obstination qu'il a de mêler des bribes de western spaghetti à cette tambouille orientale, qui reste très inconsistante au final.
Vite vu (pas tant que ça vu la longueur) vite oublié.
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