L'Agence par AcidMembrane
On part sur un concept assez basique dans l'anticipation : le postulat que le libre-arbitre n'existe pas et que nos actes, nos vies sont dirigés par des forces extérieures.
Soit, c'est un bon prémisse.
Là-dedans on nous colle deux gugusses qui ont très envie de s'aimer bien qu'on s'acharne à leur répéter que c'est pas prévu. Bon... pourquoi pas, c'est Hollywood après tout.
[ALERTE SPOILER]
Et au final, après qu'ils aient découvert le pourquoi du comment, qu'ils sont destinés à de grandes choses si seulement ils pouvaient arrêter de se tripoter, et bien ils décident de... se tripoter quand même.
Quelque part, c'est assez cynique puisqu'on a là deux personnages principaux qui décident de faire fi du "plus grand bien" pour poursuivre un but égoïste, mais la manière dont c'est présenté est juste un peu gerbante, à grands renforts de "Leur amour si pur est tellement fort qu'on ne peut pas les séparer"...
Bref, on a là un chick-flick déguisé en haillons de SF, un peu comme Source Code, à la différence que Source Code n'a pas profané du K. Dick pour en arriver là.