L'étudiante et Monsieur Henri : Constance rêve de la fac, et n'a pas vraiment envie de reprendre l'affaire de son père, à savoir vendre des légumes sur le marché. Sa famille lui déconseille pourtant de partir, et ne l'aide pas à se loger. Elle trouve donc une chambre chez un vieux grincheux, Monsieur Henri, qui va se servir de sa beauté pour mettre son propre fils à l'épreuve.
Et hop, un épisode de Joséphine ange gardien qui aurait copulé avec Clem', avec Mimi Brasseur au casting, ça fait un titre qu'on pourrait résumer en : Cons'.
L'histoire peine à intéresser véritablement, même si dès que Claude Brasseur apparait, le film prend une autre dimension. Une sorte de Tatie Brasseur qui donne le ton avec son air grincheux, sarcastique et râleur. Et heureusement qu'il est là, le Claude, pour donner un peu de corps au film, parce que Noémie Schmidt apporte sa belle tronche et son popotin, mais ce n'est pas vraiment suffisant, ni véritablement convainquant non plus.
Pour ce qui est de la réalisation, c'est classique de chez classique (avec une tentative de plan séquence, 'tention !), et pantouflard (l'expression n'est pas de moi, mais elle s'applique parfaitement).
Bref, j'avais l'impression d'être lundi (alors qu'en fait, non), et d'être devant TF1, mais j'ai pas vu les pubs. Un film ramolli pour ramollos adepte du canapé pénard pépère, mais rien de neuf ni de surprenant là-dedans.