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Thieu le veut
Les désirs de Thieu étant des ordres, voici, brièvement, les raisons qui ont fait que je n'ai pas aimé L'homme qui en savait trop. [N.B : il semblerait que je sois voué à n'écrire que des critiques...
Par
le 30 oct. 2011
37 j'aime
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The man who made a movie too well
Un couple américain et leur fils passent des vacances paisibles au Maroc. Ils rencontrent un français affable et passent la soirée en sa compagnie. Le lendemain, celui-ci est assassiné à Marrakech. Avant de mourir, il révèle au père de famille qu'un attentat visant Londres se prépare.
L'Homme qui en savait trop est est un de mes Hitchcock préférés. La bande-son est exceptionnelle. Loin de meubler ou d'égayer, elle joue un rôle de premier plan dans l'intrigue, tel un vrai personnage. Nous apprenons d'emblée que l'orchestre symphonique qui introduit le film participera au final. La chanson Que Sera, Sera servira aussi à escient au moment opportun. Sur un canevas plutôt grave, Hitch n'hésite pas à contrebalancer le ton sérieux avec quelques passages plus légers, comme les amis qui attendent sans cesse le couple. Enfin, et surtout, l'interprétation s'appuie sur des acteurs talentueux, au meilleur de leur forme et dirigés de main de maître, avec James Stewart, égal à lui-même à l'apogée de sa carrière, et Doris Day, qui sublime le film par sa présence solaire.
Une fois de plus, merci Alfred.
L'Homme qui en savait trop est est un de mes Hitchcock préférés. La bande-son est exceptionnelle. Loin de meubler ou d'égayer, elle joue un rôle de premier plan dans l'intrigue, tel un vrai personnage. Nous apprenons d'emblée que l'orchestre symphonique qui introduit le film participera au final. La chanson Que Sera, Sera servira aussi à escient au moment opportun. Sur un canevas plutôt grave, Hitch n'hésite pas à contrebalancer le ton sérieux avec quelques passages plus légers, comme les amis qui attendent sans cesse le couple. Enfin, et surtout, l'interprétation s'appuie sur des acteurs talentueux, au meilleur de leur forme et dirigés de main de maître, avec James Stewart, égal à lui-même à l'apogée de sa carrière, et Doris Day, qui sublime le film par sa présence solaire.
Une fois de plus, merci Alfred.
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Créée
le 22 mai 2014
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