6
Sexual panther
En 1942, Jacques Tourneur réalisait Cat people, un film tout en ombres et suggestions presque gothiques où une femme incarnée par la Française Simone Simon sentait monter en elle une ancestrale...
Par
le 11 juin 2018
15 j'aime
2
je reste encore et toujours fasciné par ce remake revisité de Cat People (1942), qui de part son epoque puritaine (code Hayes tout ça..), occultait cette thematique de la sexualité.
tandis que je me suis laissé totalement envouter par Natassia Kinski/Irena oscillant entre cette dualité de la beauté erotique de la panthere à la laideur incestueuse de cette malediction ancestrale.
une histoire d'Amour et de Mort, etroitement lié par le laissé aller à des pulsions sexuelle et animales.
ressemblant à un vieux conte dans lequel le Felin semblerait presque etre la forme cupabilisante de celle qui a vu "le Loup". ^^
La Feline laisse dans ce malaise omnipresent de la souffrance en rapport au charnel, tel que le gore (l'arrachage de bras au Zoo) qui se justifie par la Jalousie qu'eprouve le frere tournant en rond dans sa cage et voyant Irena au côté de son amant.
une methaphore sale mais hypnotisante jusqu'à la derniere seconde du metrage, voyant Irena rugissant d'amour se melangeant au generique porté par la voix suave de David Bowie :
"See these eyes so green.. I can stare for a thousand years.."
roaaaaar !
tandis que je me suis laissé totalement envouter par Natassia Kinski/Irena oscillant entre cette dualité de la beauté erotique de la panthere à la laideur incestueuse de cette malediction ancestrale.
une histoire d'Amour et de Mort, etroitement lié par le laissé aller à des pulsions sexuelle et animales.
ressemblant à un vieux conte dans lequel le Felin semblerait presque etre la forme cupabilisante de celle qui a vu "le Loup". ^^
La Feline laisse dans ce malaise omnipresent de la souffrance en rapport au charnel, tel que le gore (l'arrachage de bras au Zoo) qui se justifie par la Jalousie qu'eprouve le frere tournant en rond dans sa cage et voyant Irena au côté de son amant.
une methaphore sale mais hypnotisante jusqu'à la derniere seconde du metrage, voyant Irena rugissant d'amour se melangeant au generique porté par la voix suave de David Bowie :
"See these eyes so green.. I can stare for a thousand years.."
roaaaaar !
8
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste culte de chez culte
Créée
le 24 oct. 2010
Critique lue 703 fois
2 j'aime
D'autres avis sur La Féline
6
Les hommes préfèrent les panthères
Alors que Jacques Tourneur inventait l'art du suspens et distillait l'inquiétude par l'ambiance, les ombres et la suggestion sans montrer le danger, laissant au spectateur le soin d'imaginer en...
Par
le 12 nov. 2018
12 j'aime
5
Critique de La Féline par AMCHI
Ce que perd en mystère ce remake du film de Jacques Tourneur il le gagne en sensuaité et érotisme, ce qui sied bien au sujet. Le film est beau, la BO aussi (David Bowie a écrit une superbe chanson)...
Par
le 4 août 2014
6 j'aime
Du même critique
9
"Transmission d'information".. Attention spoiler.
Il faut se faire une raison, les films donnant des leçons de cinema sont souvent les plus discret ou les plus méconnu.. The Book Of Eli est ce genre de métrage, de ceux qui distillent un vocabulaire...
Par
le 22 oct. 2010
65 j'aime
9
5
un calque..
Il y a peu de choses pertinente dans cette épisode profitant pleinement de l'engouement du 1er. techniquement irréprochable, je le concède, mais vacillant dans toutes les facilités d'usage propre à...
Par
le 23 oct. 2010
31 j'aime
8
9
j'en reprendrais pour 1 dollars !
à Detroit, Alex Murphy (Peter Weller) n'est qu'un flic comme les autres, un pere de famille, ayant une réelle vocation pour ce boulot.. et quand lors d'une course poursuite il se retrouve entre la...
Par
le 11 oct. 2010
20 j'aime
5
