Birmanie 1944. Un pilote d'avion, suicidaire depuis la mort de sa femme, se crashe avec deux compagnons, en territoire japonais. Il aimerait bien s'en sortir quand même parce que depuis peu, une jeune femme lui a redonné goût à la vie. Film de guerre basique avec petite intrigue sentimentale. Pas de surprise à attendre mais avec Gregory Peck, le niveau est tout de suite plus haut.

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 7 août 2019

Critique lue 166 fois

Cinéphile doux

Écrit par

Critique lue 166 fois

D'autres avis sur La Flamme pourpre

La Flamme pourpre
ltschaffer
7

Voyage au bout de l'Enfer

L’avantage du cinéma de guerre anglo-américain est qu’il peut se montrer très varié grâce à tous les fronts existants. Evidemment, si une bonne partie est dédiée au front Ouest de 39-45, d’autres...

le 11 nov. 2013

1 j'aime

5

La Flamme pourpre
Cinephile-doux
6

Le pilote suicidaire

Birmanie 1944. Un pilote d'avion, suicidaire depuis la mort de sa femme, se crashe avec deux compagnons, en territoire japonais. Il aimerait bien s'en sortir quand même parce que depuis peu, une...

le 7 août 2019

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 27 mai 2022

75 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

73 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

70 j'aime

13