Le premier opus de cette cure de rajeunissement de la Planète des Singes, avec James Franco, avait été une belle surprise. Pas forcément un film exceptionnel, mais une histoire touchante, prenante et des effets spéciaux à couper le souffle.
C’est donc avec intérêt que je me suis lancé dans cette suite, sans James Franco, mais avec Gary Oldman.
Dix ans se sont écoulés depuis le premier opus. L’humanité a pratiquement disparue à cause d’un virus dévastateur, la grippe simiesque, dont les singes ne sont absolument pas responsables, malgré son nom. Non, le virus est le résultat des expériences jadis pratiquées dans les labos où James Franco travaillait dans le premier opus, dix ans plus tôt. Quelques poches d’humains, immunisés, survivent ici ou là à travers le monde. Pendant ce temps, les singes menés par César (Andy Serkis) ont continué d’évoluer et vivent dans un véritable paradis dans leur forêt. Beaucoup parlent, ils chassent en groupe, montent à cheval, ont des enfants naturellement évolués et vivent en paix, loin de l’enfer que vivent les hommes. Se demandant même s’il reste encore des hommes sur Terre.
Mais tout cela va changer, lorsqu’un groupe d’humains, se promenant dans la forêt à la recherche d’un barrage électrique, tombe nez à nez avec les singes et qu’un coup de feu est tiré ! Dans sa sagesse, César préfère mettre en place une trêve, une paix fragile plutôt que de déclarer une guerre qui tuerait beaucoup de singes. Malheureusement, les hommes en veulent aux singes, à cause du nom du virus qui a dépeuplé la planète. Et parce que la guerre et la violence se trouvent dans nos gènes. Mais César va, a ses dépend, faire la douloureuse expérience de découvrir que les singes ne sont pas meilleurs que les hommes. Certains singes éprouvent de la jalousie, de la haine et sont prêt à tout pour arriver à leur fin. Une guerre sanglante et terrible va alors commencer entre humains et singes afin qu’une espèce domine l’autre.
Au milieu de tout cela, nous retrouvons César qui va devoir refaire confiance à des humains et aller à l’encontre de ses propres lois !
Bref, un film haletant, riche en action et en rebondissements. Le casting passe complètement après les singes et les prouesses technologiques pour nous offrir des singes d’une beauté incroyable et saisissante. Plus que la guerre humains contre singes, c’est l’histoire de César qui capte toute notre attention.
Romain_Bouvet
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le 14 janv. 2015

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Romain Bouvet

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