Quel dommage, peut être cette histoire n'était pas faite pour être adapté au cinéma. Toute la première partie du film semble trop linéaire. On s'ennuie ferme. La 2 ème partie du film remonte un peu le niveau et quelques séquences sont assez sympathiques mais d'autres traînent en longueur.
J'attendais avec impatience d'aller voir ce film mais je n'ai pas retrouvé la magie du livre. Je n'ai pas pris autant plaisir qu'à voir Matylda ou Charlie la Chocolaterie. Il manque quelque chose à ce film, tout est lisse, peut être l'adaptation cinématographique a voulu être trop fidèle au livre.
Créée
le 28 nov. 2016
Critique lue 180 fois
D'autres avis sur Le BGG - Le Bon Gros Géant
Quand on évoque Steven Spielberg et Melissa Mathison dans une même phrase, on ne peut penser qu'à E.T. L'Extra-Terrestre, ainsi qu'à la portée universelle des sentiments qu'il convoque. Le BGG - Le...
le 23 juil. 2016
45 j'aime
10
La relation entre Steven Spielberg et les Studios Disney a toujours été très compliquée. Tantôt associés (Qui veut la peau de Roger Rabbit ainsi que ses 3 courts-métrages produits par les Walt Disney...
Par
le 20 juil. 2016
33 j'aime
6
J'y suis allé à reculons à cause de sa réputation. Il a fallu quand même 4 ans avant que je me décide à le voir. Pourtant, même si ses précédents films m'ont laissé pour la plupart une impression...
Par
le 6 nov. 2020
30 j'aime
7
Du même critique
Original, des histoires dans l'histoire. On apprécie les critiques envers la sociétéaméricaine et les vagabondages du narrateur sur les mini-histoires de SF de son 2ème personnage Mr Trout...
Par
le 14 août 2017
1 j'aime
1
Ne pas se laisser rebuter par des signes annonciateurs de mauvaise comédie : Note très basse sur sens critique - produit en partie par TF1. On s'attend à une grosse bouze et finalement bonne surprise...
Par
le 20 avr. 2017
1 j'aime
1
Un Résumé tentant, une expérience inédite, une femme part s'isoler en hauteur dans la montagne dans un refuge high tech. Curieux et attiré par ce bref résumé, j'ai voulu tenté l'expérience. J'ai...
Par
le 3 nov. 2016
1 j'aime
