Alexandre Dupré mène à la petite semaine sa vie de trafiquant d’art, de son sourire gouailleur et de sa démarche assurée (M. Jean-Paul Belmondo). Il se rend à Venise pour escompter y faire des affaires. Un homme lui confie sa mallette, alors qu’il est abattu peu de temps après. Il s’en inquiète, d’autant plus qu’il est harcelé à Venise de coups de téléphone au sujet du bagage délaissé, quitte à s’éloigner régulièrement de ses contacts commerciaux, lors d’une série d’avatars tenant souvent du gag, avec moult cascades à l’appui, le protagoniste se retrouvant suspendu à l’échelle d’un hélicoptère, au-dessus de la lagune, en caleçon blanc à pois rouges.
Rien de bien intellectuel n’agite ce policier burlesque qui relève surtout du divertissement populaire ; mais il a le mérite de faire rire à grands frais et effets faciles.