« Harry Potter c’est moi Dobby l’elfe de maison ! »
Alors que les premières adaptations sont débordantes de magie et de prouesses visuelles tant émotionnels que techniques, ici avec les animaux fantastiques nous restons trop sur notre faim, film déstructuré souvent drôle mais jamais suffisant à nous esclaffer, les animaux fantastiques étaient attendus, déçoivent, interpellent mais jamais ne convaincs.
Après une première partie plus que décevante ou nous découvrons que le film va tourner autour d’une chasse à l’animale façon pokemon, une fois que nous nous sommes mis en tête que cette chasse va bien se finir et que tout va bien rentrer dans l’ordre, le film diverge sur un aspect toujours aussi ésotérique de sorcellerie et de duel abracadabrantesque.