Une jeune femme du monde, bourgeoise et bien élevée à souhait, tombe amoureuse d’un avocat rencontré chez un marchand d’oiseaux. Elle retourne acheter un duo de perruches, des inséparables, dont l’homme en vue lui avait parlé, et apprend qu’il est parti dans sa maison de campagne, qu’elle s’apprête à rejoindre. Or, sur le chemin, des oiseaux, au départ inoffensifs, se font de plus en plus nombreux et pressants, en fondant sur les humains. Cette invasion ressemble à une sorte de malédiction, Télérama évoquant un Jugement dernier.
La terreur, comme la tension et l’angoisse habituellement chez le cinéaste, est infiltrée de manière progressive et réaliste. Le film en est effrayant et très sombre.