Le film débute par la sortie de centaines de personnes du cimetière Saint-Louis. Lors d'une réunion du conseil municipal on nous explique que 70 millions de personnes dans le monde sont revenues, 13.000 dans la ville qui nous intéresse ici.
Pendant deux heures, les morts sont revenus, intacts, dans le monde des vivants. Puis le phénomène s'est arrêté brutalement. Les revenants sont différents. Ils sont plus lents et ont une température corporelle plus basse de 5 degrés par rapport aux vivants.
On les regroupe dans des structures d'accueil pour les identifier. La Croix Rouge, l'armée et la police sont mobilisés. Des scientifiques vont étudier le phénomène, les observer et les suivre à la trace pour tenter d'avoir des réponses.
Se pose alors la question de leur réinsertion dans la société des vivants, quelle est leur place, que sont-ils capables ou pas de faire. La nuit, ils sont actifs, déambulent et se réunissent. Pourquoi sont-ils revenus ? Et maintenant, que vont-ils faire, de tout ce temps que sera leur « vie ».
Le film est d'une lenteur infinie et, passé les dix premières minutes, l'ennui est venu frapper à ma porte. Il y a bien un peu d'action à la fin (pas de zombies, pas de sang, pas de grognements du style « greuuuuhaaaar »... non, autre chose) mais on reste avec autant d'interrogations qu'au départ.