On rigole lors de situations cocasse, on admire les plans champêtre (entre autres), on plonge dans cette histoire à travers ces samouraïs qui nous inspire le respect et qui nous aspire à la sagesse, à la fraternité, à l'humilité, à la désinvolture, et bien plus encore.
Le village et ces alentours (la forêt, les rizières,...) nous enivre d'intimité et auréole toute la deuxième partie du film. Mais tout cela peut paraître aussi très long. En outre, il y a l’apitoiement des villageois tout au long du film qui est quelques peu épuisant, et cela au même titre que les apparitions excessivement pudibonde et potiche de la fille de Manzo (mais je manque de discernement puisque ce film tourner au début des années 50 devait s’imprégner d'autres mœurs).