Plusieurs thèmes sont abordés, d'abord le couple à 3, avec toutes les ambiguïtés et rapport de force consentie ou non dans ce genre de rapport, et avec toutes les notions de dominés, dominant. Ensuite le bondage, bah oui....., qui inspirait beaucoup ce cher professeur. Et la création du personnage de Wonder Woman, synthèse de ses "deux" femmes ou effectivement sévices et bondage étaient récurrents dans les premiers comics scénarisés par Marston. Tous les 3 sont très beaux et intelligents, les dialogues et situations itou, pas de scène de sexe, tout est suggéré et induit. En fait, film intello sur le sexe et accessoirement sur la censure américaine année 40/50. C'est très bien joué, Rebecca Hall est sans doute au dessus du lot, production indépendante US à voir. Par contre éviter de voir les visages des vrais protagonistes avant, c'est beaucoup moins glamour du coup...Sacré professeur..., il cachait bien son jeu.