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Faux rejeton
(Gia, décidée) - Maman, papy, tonton, bref tout le monde, je profite de cette grande réunion de famille pour vous faire une annonce. Je sais que ça ne va pas être forcément facile à entendre. Mais je...
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le 1 nov. 2014
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Palo Alto par malibufssa
Pour commencer, deux éléments ont attirés mon intérêt avant même de voir ce film : que ce long métrage soit une adaptation d'un recueil de nouvelles écrit par James Franco et qu'il soit la première réalisation de Gia Coppola. Il me tarde d'ailleurs de parcourir ce recueil semi-autobiographique.
Je voulais savoir si Gia, dont le nom de famille est une institution à lui seul, allait prendre la même voie de la réussite. Il semblerait qu'elle soit quelqu'un à suivre ne serait ce que pour voir si ce premier essai réussi sera transformé dans l'avenir.
Le film en lui-même dépeint comme d'autres avant lui (notamment Sofia Coppola avec "Virgin Suicides") le mal être d'une jeunesse américaine. Sans but, ils semblent à la recherche de quelque chose de stimulant à travers les drogues, l'alcool et le sexe.
Les adultes qui les entourent ne les aident pas vraiment car ils sont eux-même totalement désabusé par leur quotidien.
Je voulais savoir si Gia, dont le nom de famille est une institution à lui seul, allait prendre la même voie de la réussite. Il semblerait qu'elle soit quelqu'un à suivre ne serait ce que pour voir si ce premier essai réussi sera transformé dans l'avenir.
Le film en lui-même dépeint comme d'autres avant lui (notamment Sofia Coppola avec "Virgin Suicides") le mal être d'une jeunesse américaine. Sans but, ils semblent à la recherche de quelque chose de stimulant à travers les drogues, l'alcool et le sexe.
Les adultes qui les entourent ne les aident pas vraiment car ils sont eux-même totalement désabusé par leur quotidien.
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le 4 sept. 2014
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