Corporate wars
Durant l'été 1996, sortait en salles dans l'indifférence générale, un petit film de science-fiction, production modeste en grande partie canadienne, dont l'exploitation se dilua dans le raz-de-marée...
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le 27 janv. 2016
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Planète hurlante : En 2078, la planète Sirius 6B est en guerre depuis dix ans. Le Nouveau Bloc Economique (NBE) a décidé d'extraire un minerai pouvant résoudre la crise de l'énergie mais au prix d'une pollution radicale. Une Alliance s'est formée pour stopper l'exploitation de cette matière nocive. L'Alliance a mis en place des armes autonomes, – les Screamers – pour les aider à combattre. Ceux-ci sont autonomes et produit sous terre. Joe Hendricksson, le commandant la base de l'Alliance, reçoit une proposition de paix des NBE mais son état-major lui interdit de négocier avec l'adversaire car des pourparlers sont en cours. Il décide d'aller lui-même négocier avec le commandant du NBE présent sur la planète. En chemin, il découvre que les Screamers ont évolués.
Second visionnage, après l'avoir vu à sa sortie en salle.
Et c'est nettement mieux que ce à quoi je m'attendais. Loin d'être un énième nanar de SF, ici on a une réalisation très correcte, une véritable histoire qui pose tout un contexte (il s'agit quand même d'une adaptation d'une nouvelle de K. Dick) et qui bénéficie d'une bonne narration, et un casting tout à fait satisfaisant (avec notamment Peter - Robocop - Weller dans le rôle principal).
Le seul énorme défaut, ce sont les effets spéciaux hyper datés aujourd'hui, mais qui étaient déjà très laids à l'époque, de mémoire.
Les références sont nombreuses, on pensera forcément à Aliens pour le côté "planète envahie", mais aussi à The thing pour le côté danger camouflé et les décors enneigés.
S'il y a bien un film de SF qui mériterait d'être rebooté, c'est celui-là.
Créée
le 20 mars 2021
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