Prisoners of the Ghostland : Dans la ville frontière perfide de Samuraï Town, un voleur de banque est sorti de prison par le Gouverneur, dont la petite-fille adoptive, Bernice, a fugué. Le Gouverneur offre au prisonnier sa liberté en échange de la récupération de la disparue. Mais le prisonnier est enfermé dans une combinaison de cuir qui menace sa vie, ses bras et ses testicules, en fonction de ses pensées.
J'aime beaucoup Nicolas Cage. Il a l'immense mérite de ne pas s'enfermer dans des rôles singulier, et diversifie sa carrière. Bon, là, peut-être un peu trop. Il faudrait qu'il refuse parfois quelques rôles, surtout les plus vaseux/obscures/cheloux.
Ici, difficile de situer "l'action". On ne sait jamais trop si on est dans un monde réel, rêvé, fantasmé, ou halluciné... Les rêves sont nombreux, les métaphores trop appuyées sans nécessité, l'histoire finalement très peu intéressante. On ne comprend pas vraiment non plus qui est qui chez les samouraï qui découpent un peu tout ce qui passe.
Bref, sauf à vouloir à tous prix voir Nicolas Cage se faire exploser une roubignole, on pourra très largement se passer de ce film aussi improbable que fumeux.