6
Nihiliste
Don't Go in the House, premier long-métrage de Joseph Ellison, jouit depuis sa sortie en salles, au début de la décennie 80's, d'une certaine notoriété auprès des initiés bissophiles (Quentin...
le 20 févr. 2018
8 j'aime
Sinon l'affiche est superbe
Une note globale bien triste pour un film qui se présente comme un honnête représentant du slasher, un an après la sortie du code codifier Halloween mais un an avant la sortie de l'autre film culte Maniac, comme un chainon manquant même si je doute que ce film ait eu un impact quelconque sur la réalisation de William Lustig.
N'y allons pas par quatre chemins, ce film c'est Psychose dans la tête du tueur, à l'époque du disco et des vinyles de Donna Summer avec sa BO sympa mais souvent complètement en décalage par moment, alors oui un psychokiller pyromane on en reverra, mais en l'état le film est suffisamment propre pour constituer une réalisation solide en pleine période dorée du slasher avec ses scènes graphiques, son personnage apathique et torturé et sa BO de l'angoisse, jusqu'au final joliment réalisé.
7
Écrit par
Créée
le 13 sept. 2017
Critique lue 461 fois
4 j'aime
4 commentaires
D'autres avis sur Pyromaniac
7
Merguez Party
Don't Go In the House , très habilement traduit Pyromaniac pour son exploitation en VHS est une petite perle rare du cinéma d'exploitation de la fin de seventies qui mérite vraiment d'être...
Par
le 17 janv. 2018
6 j'aime
7
Sinon l'affiche est superbe
Une note globale bien triste pour un film qui se présente comme un honnête représentant du slasher, un an après la sortie du code codifier Halloween mais un an avant la sortie de l'autre film culte...
Par
le 13 sept. 2017
4 j'aime
4
Du même critique
8
Riz donc un peu !
Ce film est empreint d'originalité et de classicisme, servi chaud par une brochette d'acteurs cuits au feu de la connaissance après avoir été délicieusement trempés toute une vie dans une marinade de...
Par
le 24 mars 2014
18 j'aime
18
5
Le serpent qui se mord la queue.
Aaaahhh Zero Theorem, ma plus grosse attente de l'année 2014 par un réalisateur qui enthousiasme. C'était pourtant bien parti avec une ambiance sombre et cynique, un individu perdu et solitaire...
Par
le 2 août 2014
18 j'aime
4
6
T'as une belle affiche tu sais ?
Le film commence par une scène de sexe entre le héros et l'héroïne. J'ai un adage: une scène de cul, c'est du vide. Qu'on s'entende, je n'ai rien contre une scène de sensualité encore que je trouve...
Par
le 14 sept. 2016
17 j'aime
4
