Comme j'étais passé a coté de ce mythe pendant tout mon existence , j'ai attendu une panne de réseau de et wi-fi pour me mater les 4 opus à la suite . Et hormis le fais que après cela j'avais envie de casser du Viêt et que un bandeau PQ avais apparus sur mon front ( je n'avais pas de quoi imiter le bandeau rouge on fait avec ce que l'on a ) j'ai été très agréablement surpris .
J'étais partie avec un avis beauf au possible , comm quoi rambo était un film ou un boudin tirais a la M60 sur chaque chose pouvant bouger pendant h , alors que enfait , ici c'est la clepsydre entre les vétérans de la guerre du Viêt-nam et les citoyens américains rester au bercail qui s'illustre. Bon certes c'est pas tant les scène d'explosion et les dialogues riche de Sylvester Stallone qui font cet effet. Mais une fois que on s'habitue au rythme ( assez étrange au passage ) du film , on perçoit presque de la finesse d'esprit ( sous deux trois couche de plan beauf et de plan de nature du nord-ouest des états-unis).
Il faut en retenir l'idée et le fond , car la forme se laisse parfois déborder par la volonté de faire de la guerre envolant raconter les effets de celle-ci, mais pour le cou c'est l'illustration parfaite que un film violent peu avoir une idée en accord a partager. Un comme si on mettais Stephen Hawking dans Expendables , donner lui un lance roquette et des lunettes de soleil , sa doit être classe.