Back in Time.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser en voyant le final ouvert du premier opus, aucune suite aux aventures de Marty McFly n'avaient été prévues à l'origine, Bob Gale et Robert Zemeckis ayant...
Par
le 10 mai 2016
61 j'aime
5
Tourné en même temps que le troisième volet, Retour vers le futur II est tout aussi déjanté que son grand frère. Voire même plus. Car Zemeckis n'hésite pas cette fois à naviguer entre les époques : 1985, 2015, 1955. Quitte à ce que le spectateur perde un peu le fil sans une attention soutenue.
Retour vers le futur II est toujours autant bourré de références cinématographiques : Les Dents de la mer, Roger Rabbit, et musicales : Beat it de Michael Jackson quand Marty entre dans le bar en 2015 pour commander un Pepsi.
Alors l'effet de surprise ne joue peut-être plus...Mais le film est toujours autant rempli jusqu'à la moelle d'action, d'humour et d'effets spéciaux. Ce qui en fait un cocktail irrésistible et ce qui nous rappelle pourquoi on aime le cinéma. Et moi, ça me fait encore plus regretter ce cinéma divertissant des années 80...
Créée
le 27 août 2019
Critique lue 76 fois
D'autres avis sur Retour vers le futur 2
Contrairement à ce que l'on pourrait penser en voyant le final ouvert du premier opus, aucune suite aux aventures de Marty McFly n'avaient été prévues à l'origine, Bob Gale et Robert Zemeckis ayant...
Par
le 10 mai 2016
61 j'aime
5
Inversion des machines : on ne pouvait décemment pas imaginer, avec un engin comme la DeLorean, s’en tenir au passé. Retour vers le futur II propose ainsi, quatre ans après l’original, une suite...
le 24 mars 2017
43 j'aime
1
C’était quand même bougrement réjouissant de retrouver Marty, Doc et Einstein après le délicieux premier épisode, et rien à faire, ça marche tout de même, même au cran du dessous… Je ne sais pas ce...
Par
le 8 janv. 2014
42 j'aime
15
Du même critique
Marche à l'ombre est assez proche de Viens chez moi, j'habite chez une copine. La présence de Michel Blanc bien sûr. Mais les thématiques sont similaires. Chômage, précarité, crise du logement,...
Par
le 8 nov. 2015
13 j'aime
1
Lorsque Fernandel tourne ce film, il n'a plus tourné depuis deux ans. Il se dit marqué par le décès de son copain Bourvil. Vous l'avez deviné, on n'est pas ici dans la grosse comédie. Le comique...
Par
le 11 janv. 2015
10 j'aime
3
Les Tontons flingueurs marquent la première collaboration entre Lautner et le dialoguiste Michel Audiard et le début d'une trilogie qui s'est poursuivie avec Les Barbouzes et Ne nous fâchons pas. Il...
Par
le 23 nov. 2013
10 j'aime
4