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Lost in Time.
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"Retour vers le futur III", ou quand un film devient sa propre parodie. Et je suis sûr que mon cher Robert Z. n’a même pas fait exprès !
Non, parce qu’on parle quand même d’une comédie dont les deux éléments les plus drôles sont l’explosion d’un moteur à whisky et la chemise rose du héros. D’un western au décor encore plus factice que le Far West de "Mondwest", mais auquel le spectateur est censé croire. D’acteurs si mauvais que ce sont encore un chien et un ours qui s’en tirent le mieux. D’une bande originale qui pourrait être celle de cent cinquante autres films. De deux placements de produits dans les dix premières secondes. Et d’une histoire dont on finit par se foutre.
Heureusement qu’il y a les ZZ Top, tiens !
Non, parce qu’on parle quand même d’une comédie dont les deux éléments les plus drôles sont l’explosion d’un moteur à whisky et la chemise rose du héros. D’un western au décor encore plus factice que le Far West de "Mondwest", mais auquel le spectateur est censé croire. D’acteurs si mauvais que ce sont encore un chien et un ours qui s’en tirent le mieux. D’une bande originale qui pourrait être celle de cent cinquante autres films. De deux placements de produits dans les dix premières secondes. Et d’une histoire dont on finit par se foutre.
Heureusement qu’il y a les ZZ Top, tiens !
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le 2 janv. 2015
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