Après le choc de 2012, et depuis sa sortie en 2009, Hollywood n’avait pas réussi à ré-imposer sa vision apocalyptique du monde … San Andreas réequilibre la balance, et propose sa version de the end of the world. Le film s’inscrit dans un genre très particulier : le film catastrophe.
Ce genre est, comme n’importe quel autre (Science Fiction, Thriller …), soumis à des codes de mises en scène, scénaristiques, visuels … Et ce sont ces mêmes codes qui vont faire s’étouffer de rire/pleurs bon nombre de spectateurs et critiques ! Le drapeau américain flottant au vent devant un coucher de soleil, les répliques d’ors et déjà cultes et quasiment nanardesque, les symboles narratifs (trop) compréhensibles, la quête initiatique du héros (qui est le seul des 7 milliards d’humains sur cette Terre à ressortir plus Grand de l’apocalypse) et … les invraisemblances ! Car la probabilité que nos héros survivent à la fin du monde tendrait, dans la réalité, vers le zéro absolu !
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