(...) Qu’on se le dise, avec SAN ANDREAS il n’y a pas à se poser beaucoup de questions. Pour profiter pleinement de ce film, il faut accepter d’aller à l’essentiel. Se laisser porter par la mise sous tension constante, et ce dès la première séquence. Il n’est pas difficile alors de rester scotché devant la destruction massive de San Francisco dans des plans d’ensemble impressionnants. Car la réussite du film se trouve au moins dans ses effets numériques. Bien qu’imparfait sur certains passages où l’on devine les fonds verts utilisés, le résultat d’ensemble reste bluffant. De la reproduction de toute une région en passe de s’effondrer, à une succession de tours qui s’écroulent jusqu’à l’apparition d’une vague géante particulièrement réussie. Pour rythmer son film, le réalisateur reprend les codes habituels du genre et nous balade aux quatre coins de l’Etat pour suivre une poignée de protagonistes qui tenterons de se sauver et de se retrouver (...)
L'intégralité d e la critique de Pierre, sur Le Blog du Cinéma