Kasper accueille Elena. Elle est chargée d'aider pour les tâches quotidiennes sa femme Louise qui se remet doucement d'une opération. Le couple vit dans une belle maison isolée au milieu des bois, près d'un lac. Ils vivent sans eau courante et sans électricité.
Elena devra donc s'adapter. Avec le temps, elle trouve ses marques et devient même très complice de ce couple. Un soir, lors d'une discussion au coin du feu, Louise dit à Elena qu'elle a fait congeler ses ovules et qu'elle aimerait qu'Elena porte son enfant. En échange, de l'argent et la possibilité de rentrer vite chez elle pour offrir une belle vie à son petit garçon de 5 ans qu'elle a laissé en Roumanie chez ses parents.
Elena accepte. Tout se déroule parfaitement au départ... Puis, tout va se dégrader au sens propre comme au figuré pour Elena. Quelque chose de terrifiant va arriver.
Un film qui prend le temps d'installer les choses et qui le fait bien. Le film est tranquille au départ. On est dans la nature, on apprend à connaître les protagonistes. Elena jardine et s'occupe des poules. Tout change lorsqu'elle accepte de devenir un mère porteuse. Ça monte crescendo et j'ai vraiment flippé à de nombreuses occasions. Les dernières 45 minutes sont excellentes. Un film à voir dans le noir, emmitouflé dans sa couette.