Je t'aimais bien pourtant Sofia. T'avais des qualités, mais tu sombres dans ton propre jeu. Dans ton propre style. Avant tu nous livrais des personnages perdus, mais avec une histoire autour qui permettait de s'attacher un tant soit peu à eux...
Oui, ici on a donc un père perdu dans sa célébrité qui a l'air de complètement se faire chier et sa fille qui lui redonne un peu le sourire, jusqu'au jour où il l'emmène à son camp de vacances (Spoil : Ici pour lui ça devient presque le drame de sa vie...). Des fois c'est joli, parce que Sofia, t'es douée pour donner un peu de poésie dans des scènes quotidienne tout à fait banales, on peut pas le nier... Mais l'émotion merde ? Elle se cache où ?
Je cherche encore. J'ai essayé pourtant de m'accrocher, de me dire qu'à un certain moment le film va devenir génial, mais non, rien. Que nenni, pas d'émotion, et une grosse déception.
Tu vois ce qui est vraiment dommage, c'est que si tu n'avais pas aussi bien réussie tes premiers films, celui-ci n'aurait pas été gratifié d'une note aussi mauvaise. Mais tout ce joue sur la déception...