5
Poison Girl
Bon allez, pas d’introduction bien tournée pour cette fois, pour éviter toute confusion et parce qu’on colle des procès d’intention au film pas tout à fait pertinents, je vais commencer par quelques...
Par
le 8 juin 2016
196 j'aime
45
eUgNeUgNeU mOi gRaNd ciNéAsTe
Nicolas Winding Refn, aka l'homme le plus imbu de sa personne d'Hollywood, qui se prend pour un grand artiste et le nouveau Scorsese, et dit à longueur d'interview que Drive est un chef d'œuvre au même niveau que Taxi driver. Donc. Nicolas Winding Refn. J'ai vu The Neon Demon, mais the Neon Demon ne m'a pas vu. D'ailleurs, il n'a vu aucun de ses spectateurs, vu qu'il est aveuglé par son désir de complexifier à outrance des notions simples, pour faire semblant d'être incompréhensible. Oui c'est très beau, la photo est magnifique, oui c'est musicalement dingue. Mais qu'est ce que c'est prétentieux, ça fait des scènes épileptiques de cinq bonnes minutes où on enchaîne deux plans néons en boucle, et on se sent cinéaste. Alors oui c'est beau. Mais Nicolas, tu lâches cette caméra, tu ouvres les yeux, et tu redescends sur terre. Vous n'êtes pas le centre du monde très cher.
3
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de Nicolas Winding Refn
Créée
le 28 avr. 2020
Critique lue 98 fois
D'autres avis sur The Neon Demon
5
Beauty is Everything.
Le temps d'un plan, j'y ai cru, au point d'en avoir une demie molle. Le temps d'un opening theme fracassant, me renvoyant au temps béni de Blade Runner, et dont les basses me parcourent l'échine avec...
Par
le 20 juin 2016
194 j'aime
6
8
Splendeur et décadence.
La plastique, c’est hypnotique. La bande annonce, le clip, la publicité : autant de formes audiovisuelles à la densité plastique extrême qu’on louera pour leur forme en méprisant le plus souvent...
le 13 juin 2016
149 j'aime
19
Du même critique
6
Grosse fatigue...
En voyant les critiques dithyrambiques de la nouvelle soupe super-héroïque du côté DC, il est facile de se laisser emporter par une hype incontrôlable. Pour autant, il est nécessaire de réfléchir...
Par
le 29 juil. 2021
3 j'aime
6
Un hentai, Moby Dick, et Freud sont en haut d'un phare. Qui tombe à l'eau ?
Délire psychorrifique, The Lighthouse dérange, emmène le spectateur dans les méandres les plus sombres de la pensée. Sorte de mélange entre une nature morte hollandaise, Moby Dick, Freud, et un porno...
Par
le 17 févr. 2020
3 j'aime
3
4
Pot (un peu) pourri
Commençons par une comparaison avec un film sorti deux semaines plus tôt. En effet, les thématiques abordées par les Méchants se rapprochent quelque peu de France, de Bruno Dumont : hyperpuissance...
Par
le 10 sept. 2021
2 j'aime
