À l'époque, je l'avoue, j'adorais déjà le cinéma. C'était comme des tours de magie et j'ai toujours été facilement impressionnable. À cause de mon vieux qui, lui-même, crachait pas dessus et m'avait toujours, greffé à sa pogne, j'ai mangé de la péloche plus que de raison. Ce mec a planté la graine insidieuse de la cinéphilie dans ton serviteur, mon ami. Sans vergogne. J'ai son nom, son adresse et je suis à deux doigts de le dénoncer. Je me souviens des Grands Boulevards, accroché à... Lire l'avis à propos de The Nice Guys