Tree of life, vu à 22h30 dans une petite ville. Quoi de mieux? Six personnes dans le cinéma, 168 pour Minuit à Paris.
Terence Malick au mieux de sa forme. Des images magnifiques, évidement. Qu'attendre de plus? Peut-être plus de dialogues? NON. Une histoire plus percutante? non plus. Tout nous suffit. Et on ressort, nos pas dans la rue résonnent comme une suite logique au visage bouche bée qu'on garde tout le long du film.
Un des meilleurs, après la ligne rouge, on en oublie même "l'erreur" du Nouveau Monde.
On embrasse le bon vieux Malick.
NoraBart
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste

Créée

le 3 août 2011

Critique lue 320 fois

1 j'aime

1 commentaire

NoraBart

Écrit par

Critique lue 320 fois

1
1

D'autres avis sur The Tree of Life

The Tree of Life
Malgo
3

Critique de The Tree of Life par Malgo

"Terrence Malick je te hais. Tu as volé 4h33 de ma vie Je hais tes fantasmes sur les arbres. Je hais tes fantasmes sur la femme pure et stupide et rousse à grosse bouche Je hais tes phrases...

le 1 juin 2012

269 j'aime

102

The Tree of Life
Torpenn
2

L'ennui vous appartient

Après le terrifiant Nouveau Monde, j'avais juré qu'on ne m'y reprendrait plus. Encore la preuve que je devrai m'écouter plus souvent. Terrence Malick est un primitif, un simple, un naïf, c'est ce...

le 26 mai 2011

204 j'aime

110

The Tree of Life
Clairette02
10

Le plus beau film du monde

The Tree of life n'est pas un film. C'est un voyage. A faire dans une grande quiétude, une sérénité totale, et en bonne compagnie, sinon vous allez vouloir sauter de l'avion ou du train, c'est selon...

le 19 mars 2012

150 j'aime

79

Du même critique

Minuit à Paris
NoraBart
3

Pourquoi?

On a dans le ventre les meilleurs Woody Allen, revus peu avant Midnight in Paris. On entre dans le cinéma, amoureux de Woody Allen, on en ressort, fatigué et... déçu. Pour un parisien, c'est dur de...

le 3 août 2011

1 j'aime

De rouille et d'os
NoraBart
6

De bric et de broc

Évidemment, on retrouve le schéma Audiard : réalisme poignant, à la limite du documentaire, visages sales et pâles, fatigués par la vie si dure que les personnages mènent. Certes. Et après? Je crois...

le 28 juin 2012