Ken a regardé pour vous
Titane est un film franco-belge, écrit et réalisé par Julia Ducournau, sorti en 2021.
Les gens sont d’une lourdeur et ils n’ont plus la décence de vous l’épargner…
Voici un film qui restera comme le marqueur ultime, le parangon de la dégénérescence et du difonctionnement du cinéma et ceux à tout les niveaux de sa conception et de sa production, catalysé par une idéologie sanieuse sortant par tous les pores de sa triste figure lourdement fardé d’impuissance…
Laisse tranquille le cinéma de genre svp, tu fait de la merde et c’est tout…
Le film est une succession de scènes écrites avec les pieds aux dialogues abscons, qui non pour but que de nous servirent les obsessions réifiantes d’une micro minorités pleureuse à grande gueule…
C’est une succession de métaphore plaquées pour des adolescents vidéo/game, chips/coca que nous offre notre temps historique de la médiocrité… une succession d’images à colorier, sans inspiration et dont on devine si on est un peu cinéphile toutes les inspirations, le plagia mal digéré et dont le réalisateur revenant de son marché nous vomit péniblement au visage pendant 1h48 de film…
Je ris en lui tenant les cheveux…
Tout est risible, parfois drôle mais toujours au dépend du film, seule petit éclat de lumière noyé dans cette étang d’huile noire c’est les dernières secondes du film…
Je signe pour un director cut avec 30 minutes en moins et une transformation finale complète, en un hybride voiture/homme, un brundle mouche version voiture tunée…
La fin du film nous promet malgré lui une suite, « Titane 2, le retour » la rencontre, l’affrontement possible dans un crossover dantesque du bébé titane face au Terminator ou à Robocop ou à Gozilla ou au Predator ou à tous à la fois… j’en pleur et je salive déjà…
Une pensée pour les acteurs principaux tous très bons, la vie est parfois très dure…
Je ne parlerai pas de Canne et de ses palmes, visiblement le jury était trop occupé à regarder l’euro ou à se foutre de notre gueule…
Ceci est bien un « film » de genre, mais d’abord et surtout une très, très, très mauvaise suite d’images, la paresse crasse de l’ontologie bourgeoise…
Je lui donne une aiguille à tricoter…