Un vigilante-movie sans grand intérêt

Après la sortie au cinéma de Tolérance Zéro (2004), réalisé par Kevin Bray et interprété par l'ancien catcheur The Rock (Dwayne Johnson), le film est devenu une franchise et a accouché de deux autres suites (qui n'en sont pas réellement), deux DTV portés par un acteur de seconde zone du nom de Kevin Sorbo, grand spécialiste des séries télévisées avec à son actif, des séries telles que Hercule & Xena, la guerrière.


Après un second volet (Tolérance zéro 2 - 2007) réalisé par Tripp Reed, ce dernier a rapidement pris les commandes du troisième, une fois de plus interprété par Kevin Sorbo.


Comme pour le précédent opus, il n'y a rien de nouveau à se mettre sous la dent, histoire d'offrir un peu d'originalité, l'action ne se situe plus dans un hameau au fin fond des Etats-Unis mais dans une grande ville, à savoir Dallas et une fois de plus, le héros va devoir faire justice lui-même.


Un vigilante-movie sans grand intérêt et resté inédit à l'heure d'aujourd'hui dans l'hexagone, finalement c'est aussi bien comme cela.


(critique rédigée en 2009)


http://bit.ly/CinephileNostalGeekhttp://twitter.com/B_Renger

RENGER
2
Écrit par

Créée

le 12 mai 2011

Critique lue 371 fois

RENGER

Écrit par

Critique lue 371 fois

Du même critique

Mad God
RENGER
8

30ans de tournage devant lesquels on hallucine bouche-bée devant le résultat.

Second long métrage pour le magicien des effets-spéciaux, après avoir apposé sa patte et sa légende sur bon nombre de films culte ou qui ont marqués toute une génération (La guerre des étoiles -...

le 21 juin 2022

35 j'aime

Monty Python - Sacré Graal !
RENGER
2

Armez vous de patience, c'est ce que vous avez de mieux à faire.

Premier long-métrage pour l'équipe des Monty Python où ils réalisent avec Monty Python, sacré Graal (1975) une comédie lourde, exaspérante et extrêmement vide. Certains gags sont beaucoup trop...

le 5 mai 2011

27 j'aime

17

Ready Player One
RENGER
2

Grosse désillusion, de la SF chiante à mourir

Une belle grosse désillusion le dernier Spielberg. Moi qui l'attendais avec une certaine impatience. Son grand retour à la SF, à grands renforts de coups marketings, je suis tombé dans le panneau et...

le 20 mars 2018

21 j'aime

24