Le premier valait pour ses fantastiques et troublantes séquences numériques, et seulement pour ça.
Acteurs particulièrement minables, évolution de l'histoire échevelée, scénario mal dégrossi, tout reposait sur la prouesse technique, à raison d'ailleurs, car prouesse il y avait.
Alors que dire de ce Tron ?
Respectant les codes de l'ancien en ce qui concerne la platitude du scénario, le manque de souplesse dans l'enchaînement des scènes, et la direction des acteurs, il joue d'une part sur une éventuelle nostalgie qu'il n'arrive pas vraiment à convoquer ici, et d'autre part sur tous les poncifs de la cyber-virturéalité, éculés au dernier degré.
Restent la scène des courses en moto qui provoque un semblant de sensation dans le ventre, et peut-être la belle actrice échappé de Dr House (j'ai oublié son nom, désolé), qui arrive presque à être touchante.
Donc en conclusion : Timber!