Pâle copie du "Abyss" de James Cameron , William Eubank tourne à vide . Après un début assez anxiogène plutôt efficace, au moins pendant une heure, on a vite plus l’impression d’être dans une série B qu'autre chose. L’apparition du titre complètement en bas de l'image ,ça démarre comme Alien .Kristen Stewart , déambulant en slip, est un clone de Sigourney Weaver quand elle était crâne rasé dans Alien 3. Sous des scènes répétitives, le réalisateur est incapable de faire monter l’angoisse et la peur. Les références de science fiction se font pesantes. Les objectifs des personnages font très jeu vidéo puisqu'il s'agit à chaque fois d'aller d'un point A à un point B .C’est le deuxième long-métrage de William Eubank. Premier gros souci, c’est l’absence totale de surprise. L'histoire reste très prévisible dans les grandes lignes et ne dégage presque aucune émotion ni angoisse. C'est dommage.Trop de scènes ressemblent à Alien ou à Abyss et trop de séquences d'actions se déroulent dans une eau laiteuse et noire où l'on ne distingue rien. Décevant.