Ce film est, il faut bien l'avouer, une grosse, très grosse bouse. Mais Ridley Scott n'a peur de rien, on ne peut lui enlever ça.
Ainsi, nous en révions tous, Ridley Scott l'a fait: Mettre du Alizée dans un de ses films, une chanson censée représenter la France, et donc les français en général.
Pauvre con.
Le_Prophète
1
Écrit par

Créée

le 14 janv. 2013

Modifiée

le 26 févr. 2013

Critique lue 459 fois

6 j'aime

1 commentaire

Le_Prophète

Écrit par

Critique lue 459 fois

6
1

D'autres avis sur Une grande année

Une grande année
Stuff90
8

Cliché oui mais pas que!

Qu'on se le dise, les clichés ont la vie dure! Je suis d'accord, pratiquement toutes les idées reçues sur les français et les anglais se retrouvent au long du film. Certaines passent bien d'autre...

le 21 nov. 2012

8 j'aime

Une grande année
takeshi29
1

Si ce n'est toi...

Ridley était jaloux du potager de son frangin, où poussent à foison moult navets. Il a donc décidé de répliquer, et sur ce coup-là, on peut dire qu'il a frappé très très fort.

le 6 mai 2012

8 j'aime

1

Une grande année
Fêtons_le_cinéma
5

« Embouteiller la vérité »

Sous ses airs de carte postale racoleuse, A Good Year décline les thématiques chères à Ridley Scott, à savoir la quête d’un Paradis perdu, ici symbolisé par le domaine viticole provençal au sein...

le 30 avr. 2021

7 j'aime

3

Du même critique

Ghost
Le_Prophète
7

I neeeeeeeeeeeEEEEEEEEEeeeeeed your loveeeee !

Il y a des films que l'on a quelque peu honte d'aimer. Ghost fait assurément partie du lot. D'autant qu'il réunit tous les éléments niais et clichés du film de genre, et que les effets spéciaux sont...

le 15 avr. 2013

30 j'aime

5

Les Griffes de la nuit
Le_Prophète
8

"I Have a Dream" qu'il disait.

Le moins que l'on puisse dire, est que Wes Craven et John Carpenter (sans oublier les très bons Argento et Romero, mais dans un genre bien différent) sont sans conteste les maîtres de l'horreur...

le 22 avr. 2013

29 j'aime

Oblivion
Le_Prophète
4

Au pays des blockbusters, Tom Cruise est roi

Un bon travail, un conjoint (que l'on aime pas forcément), et une jolie baraque: voilà qui a de quoi rendre heureux. D'entrée de jeu, le film s'avère donc être une féroce critique du conformisme...

le 18 avr. 2013

27 j'aime

9