La Reine des Neige avait un arrière gout de fumisterie, car se vendant comme féministe. le film nous montrait surtout avec brio qu'une femme qui à des supers pouvoirs est forcement incapable de les gérer. Bah oui.
Ici grosse progression, la princesse n'aspire pas a l'amour dans l'unique but d'avoir 3789547 enfants, non, elle veut sauver son peuple et parcourir le monde dans une quête initiatique ou Moana s'émancipera de l'influence de
1- Son père
2- Les hommes
Sont père étant symbolisé par... Son père (oui oui) et les hommes par Maui, qui passera une demi heure à chercher son hameçon-pénis.
Déso pas déso, j'ai du mal à concevoir autrement l'hameçon que comme un symbole phallique.
Je vous épargnes les banalités d'usages à propos de l'animation magnifique, des chansons trop choupi blablabla.
Le film fait preuve de beaucoup d'auto-dérision méta " Tu porte une jupe, ta un animal mignon, tes une princesse LOL"
C'est rigolo.
D'ailleurs l'humour est souvent, à mon étonnement, très fine, voir à plusieurs degré de lecture. Et ça c'est cool.
Bon, le récit reste convenu,
happy-end, Maui retrouve sa virili... son hameçon, Moana sauve le monde est fait la fierté de ses parents.
Franchement, depuis quelques temps, je n'attendais plus grand chose de Disney, ici, on a une vrais évolution positive qui ne fait qu'envisager le meilleur pour le future.
Aller, bon flim !