Le début ambitieux et encourageant de Bradley Cooper à la réalisation.
Film touchant malgré ses défauts et ses maladresses évidentes: un rythme parfois approximatif, une trame un peu simpliste.. Je suis sorti en ayant l'impression que l'on aurait pu faire mieux étant donné le materiaux de base: tout était à peu près là, mais il manquait le liant.
Ceci étant dit, les acteurs sont vraiment convaincants, la bande son en boucle sur mes enceinte depuis 24h, et certaines scènes m'ont ému ému aux larmes.
Difficile de mettre plus de 5 à cause de l'impression d'être passé à côté de ce qui aurait pu être un 9, mais impossible de mettre moins pour un film qui m'a fait pleurer.
Mention spéciale aux scènes de concerts dont l'énergie et le tourbillon proposent une vraie vision artistique de la performance musicale.
Plaisir immédiat: 7/10
Plaisir post séance: 9/10 (bande son)
Impact culturel/artistique/politique: 3/10
Qualité cinématographique: 3/10
Ambition: 8/10 (premier film)
Créée
le 7 oct. 2018
Critique lue 550 fois
4 j'aime
D'autres avis sur A Star Is Born
C’est assez rare que je sois aussi partagé sur un film en sortie de séance.Commençons par le premier tiers du film, qui est pour le coup une vraie réussite. La photographie est soignée, les premières...
Par
le 6 oct. 2018
80 j'aime
5
Dans un premier temps, impossible de ne pas être pas emporté par cette espèce de romance intemporelle et musicale que signe Bradley Cooper en guise de premier long-métrage ! On comprend finalement...
Par
le 3 oct. 2018
58 j'aime
4
Passé une première demi-heure enthousiasmante, A Star is Born peine à convaincre et finit paralysé par des défauts d'écriture majeurs. Alors qu'il étire son récit sur deux heures et quart, le film...
le 3 oct. 2018
52 j'aime
8
Du même critique
Halloween de John Carpenter a été ma première vraie rencontre avec l'horreur quand j'avais 16 ans, et que les slashers m'apparaissaient comme un genre douteux, malsain et de toutes façons bien trop...
le 30 oct. 2018
1 j'aime
"The world is yours", le monde est à toi, est la promesse entêtante de l'Amérique consumériste à Tony Montana dans Scarface. Mensonge qui explique la trame du classique de De Palma: comment un...
le 25 sept. 2018
1 j'aime
Par une coïncidence des plus agréables, j'ai regardé il y a quelques jours seulement "the cabin in the woods", le seul film du réalisateur drew goddard, 6 ans avant "Sale temps...". J'ai tout de...
le 14 nov. 2018
