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Pointer du doigt, c'est moralement pas très chouette, mais ça fait remuer la brouette.


« Cher journal, que fut intrépide le voyage qui nous amena vers la terre promise, un nouveau monde qu’on élèvera afin de fuir la tyrannie anglicane. Mes compagnons ont peur que les préjugés persistent et que d’autres têtes vont encore rouler sur l’herbe. Mais je les rassure, dans nouveau monde, il y a nouveau. »


GENESIS d’un nouveau monde :


SO LET THERE BE LIGHTS
LET THERE BE STARS
LET THERE BE GONDOLE
AND LET THERE BE FEEDBACK
LET THERE BE MONGOLES
LET THERE BE POLITICS
LET US BEGIN TO FEEL AGAIN
FROM THE TOPS TO THE LISTS


« Suivant. »
(Une tête coupée, la tête rejoint à nouveau la file, elle attend d'être immolée)
« Suivant. »
« Bienvenue à la place publique de la chasse aux sorcières. Guyness tient à vous rappeler que ceci n’est pas une chasse aux sorcières. Je m'excuse de vous en vouloir personnellement, je répète, ceci n'est pas une chasse aux sorcières. Je répète pour ceux du fond et les sourds, ce n'est pas une chasse aux sorcières. Toutes ressemblances avec une chasse aux sorcières, seraient purement fortuites. Laissez-nous le temps de les effacer avant que vous les remarquiez. »


« Marchez en ligne, on ne pousse pas ! Eh ! J’ai dit qu’on aura tous le droit à sa place sur la liste noire ! »
« Et me dépasse pas toi, Monsieur le Feedbackien, il me double en écrivant une critique plus sympathique sur Zemmour ! »
« Eh ben, je ne sais pas, mon petit Piero, tu peux essayer de critiquer le dernier livre sur le féminisme. Cela peut te donner des extras points. »
« Oh ouais ! Bonne idée, monsieur ! »


« Bienvenue à la place publique de la chasse aux sorcières. Guyness tient à vous rappeler que ceci ne ressemble pas à des proscriptions. Je m'excuse de vous en vouloir personnellement, mais vous pourriez le penser. Et si vous pensez ce que je ne pense pas, c’est problématique ? Je répète pour ceux du fond, aux malentendants, les aveugles et les sourds, ceci ne sont pas des proscriptions. Si je le dis intelligemment, vous finirez par me croire. »


« Oh monsieur Guyness ! J’ai adoré vos critiques sur les Beatles ! »
« Merci bien, je vais te recommander aux têtes coupées, toi ! Continue comme ça et tu vas peut-être finir immoler. »
« Qu’est ce que j’entends ? (Le dieu apparaît sur place) Ce facho a aimé une de vos critiques ? Mais s’il a aimé votre critique… Et que vous n’êtes pas dans la file… »
« Non, non, non, non !!! Il n’y a jamais eu de critiques sur Les Beatles. Regardez, je la mange devant vous. Hummm, miam ! (burp) Vous voyez, je l’ai digéré, impossible qu’elle soit empoisonnée. Ou même qu’elle ait existé ! Pas vrai ?! Ahhahah, vous me faites marcher c’est ça ? Hein Guillaume ? »
« Hummmmmmmmm. » (Le dieu disparaît)
« Snif, je te préférais quand tu suçais tous les membres des Beatles. Tout le monde sait pourtant que les Beach Boys sont… »
« Ta gueule manant et suis la file ! »


« Bienvenue à la place publique de la chasse aux sorcières. Guyness tient à vous rappeler que ceci ne s’apparente pas au Maccarthysme. Tout simplement parce que c’est un mouvement de droite et non de gauche. Et puis, ces tours là-bas, ces murailles, cela ne ressemble pas à une prison, ni même à un camp de concentration. Si vous le pensez maintenant, c’est que vous vous trompez. »


« Allez, on avance. Oh pas si vite. Ne courez pas tout de suite vers le billot. Le juge Guyness va s’adresser à vous dans un monologue chiant. »
« On peut passer la parlotte ? J’ai déjà une idée pour le nom de mon prochain pseudo ! »
« Chut ! Il va parler ! »
« Eblouis nous de ton male gaze ! »
(Tous les villageois du village des Gentils se rassemblent autour de la place publique.)
(Guyness monte en haut de la potence, il marche fièrement mais pas trop car il ne veut pas faire ce qu’il veut faire. L’avocat du juge monte avec lui, un certain Nal Le Vydeur.)


« Bonjour, je m’excuse. Mille pardons mais vous n’êtes pas comme je l’aurais voulu. Voilà. J’ai écrit une critique hyper longue, listant tous les arguments qu’on pourrait me reprocher. Une liste longue comme mon bras d’assurance-vie conseillées par mon avocat. Ainsi, si vous me reprochez quelque chose, faites attention à ne pas vous inscrire sur le bingo des intrépides. Gagnez une petite bière si vous arrivez à me balancer un argument auquel je n’ai pas eu le temps d’y penser. »
« Euhhh…. C’est juste un site. Pas un sanctuaire. »
« Ah ! Merci pour le candidat numéro 62 ! Je l’inscrit sur mon bingo. Dorénavant, on peut plus l’utiliser cet argument. »
« Et ma bière ? »
« Donc, si vous êtes concerné par l’un de ses arguments, que vous aviez l’intention de m’infliger, ou même que ça vous est déjà arrivé de le faire, eh ben, vous pouvez rejoindre le rang des condamnés. »
(De nombreux villageois rejoignent les rangs).
« Non mais, vous n’êtes pas obligé de tous venir. J’ai pas été aussi inclusif que ça avec ma liste. Bref… Enamourés. Sulfureux. »
« Hein ? »
« Chut ! Le maître parle. »
« Unilatéral. Obédience. »
« Quoi ? »
« Etanchéité ! Calomnie ! Obsolescence ! Le strapontin s’est levé. Je me sens ragaillardi ! Vous savez, il faut parler intelligemment tous les jours. A partir de mots intelligents, il ne peut en ressortir que de l’intelligence ! Car vous pouvez dire de grosses conneries, mais elles ne seront pas aussi grosses que les mots que vous employez. Politicien ma gueule ! »
« Oui mais pourquoi vous faites ça ? A quoi ça sert ? »
« Ah ! Un autre argument dont je n’ai pas imaginé la suite. Inscrivez-ça dans mon bingo ! »
« Et ma réponse ? Et ma bière ? »
« Sachez que la main de Dieu est impénétrable, Grosniqueur que je suis, j’ai compilé des documents de la plus haute importance ! J’ai hésité à l’envoyer à Marianne, mais ce dossier est trop brûlant pour être laissé entre des mains expertes. Je vous jure que ça a pas été facile, j’ai été poursuivi dans la rue, espionné de fond en comble. J’ai dû éteindre mon téléphone car les agents fachos me surveillaient de loin. Même Peter, mon compagnon de bureau, venait de comprendre, trop tard, qu’on écoutait son téléphone. Ma famille aussi était en danger du mode de vie que je menais. Vous imaginez ? J’ai laissé ma femme prendre le prochain avion à Casablanca. Triste. Après ça, je suis parti au Tibet, ressourcer mes chakras, reprendre mon entraînement de moine. Il était sûr que je ne pourrais plus revenir au pays. Ils ont engagé des tueurs à gages supra entraîné. Mais je les ai battus sur le mont Everest. Ainsi, me voilà de retour, une question ? »
« Nous sommes des moutons. Mais vous, vous êtes quoi ? »
« Un chien. Une autre ? Je laisse la place à mes opposants de s’exprimer dans les commentaires, ne suis-je pas clément ? »
« Tu parles ! C’est un autre filet pour en attraper d’autres ! »
« Trente Millions de justifications pour juste soutenir une politique de bannissement arbitraire. »
« Ouah ! Mon bingo est en train de se remplir à une vitesse ! »
« Tiens, je vais utiliser l’espace commentaire pour balancer des sources idéologiques. »
« Qu’est ce que j’entends mon petit Guyness ? On a sur sa page des pensées pas trop de gauches ? »
« Noonnnn ! Désolé Dieu ! Je leur fais de la publicité !!! »
(L’espace commentaire a été supprimé par Jusqu’auboutin. »
(Un autre espace a été ouvert en dessous de la critique)
« Eh oh ! J’ai d’autres sources, c’est pas fini ! »
« Noooonnn !! Je leur fais à nouveau de la publicité !!! »


« Que le premier s’avance. »
« Un certain Broyax. »
« Qu’avez-vous à dire pour votre défense ? Avez-vous un avocat ? »
« Il en a un, mais il a déjà été banni. »
« Tant pis, quels sont vos crimes alors ? »
« Attention, monsieur le juge, il a un langage très ordurier. Il connaît quarante synonymes pour le mot merde ! »
(Il ne dit rien)
« Bon, il a l’air afk, je vais lire sa feuille pour lui. (Nal se racle la gorge) Il semblerait qu’il ait écrit des critiques sur des jeux-vidéo. »
« Hum. D’accord, je suis pas très jeu-vidéo mais ça peux pas être aussi mauvais. »
« Oui, mais beaucoup ne l’aiment pas sur le site. »
« Ah ! Alors, billot ou potence ? »
« J’hésite. On peut pas faire les deux ? »


« Oh tu as vu le regard que Nal m’a jeté ! Il m’a reconnu, j’en suis sûr ! »
« Ah bon ? Il t’a déjà viré ? »
« Oui, en 2017. Mais j’espère que cette fois-ci ça a été Pokespagne ! »
« Oh la chance ! Je l’ai pas dans ma collection lui ! »
« De qui ? Nal ? »
« Non, lui, tout le monde l’a. »
« Moi je pense que j’ai été viré par un des éclaireurs de Confucius. Il est venu chez moi avec sa torche et il a brûlé ma maison. »
« Comment tu le sais ? »
« Il y a un commentaire sur une de mes critiques qui dit « Eh, je vais te feedback auprès de Confucius, brûler ta maison, et te faire ravaler ton foutre puant sans vergogne. » J’ai été mieux accueilli les fois précédentes. »


(On en brûle un)
« AAhhhhhh. Vous ne m’aurez pas, sale irlandais protestant ! Je vais créer un nouveau pseudo et vous allez prendre trois ans pour savoir qui je suis maintenant ! »
« Bah si tu viens informer tes compagnons sur le site, tu risques forcément d’être banni à nouveau. »
« Merde. Ouh, il commence à faire chaud. Vite, une phrase badass. Euh… »
(Le feu lui titille les pieds)
« Oh je sais ! Mais je m’en souviens plus. Mince, les gars, qu’est ce qu’il raconte le templier avant de se faire brûler vif ? Comment il s’appelle aussi ? »
« C’est Maurice Druon ? »
« Mais non, banane, c’est lui qui l’a écrit. Pas lui qui l’a dit. »
« Ahhh, dépêchez-vous les gars. J’ai les couilles en feu, je vais plus pouvoir parler en mode viril ! »
« Mec, tu es un adorateur de Rochedy, tu devrais t’en souvenir ! Tu as lu au moins les livres que tu as noté sur SC, rassure-moi ! »
« AHhhhhhahhahhhhhhhhh. »
« Quel courage ! Un sacré martyre.»


« Pardon ! Monsieur. Je viens de la campagne. Qu’est ce qui se passe dans le coin ? »
« Oh. Encore un autre double-jeu ! Hum. Si vous ne savez pas ce qui se passe ici, monsieur… »
« Siegurd. »
« Eh ben, monsieur… euh… Si vous avez du temps à perdre, vous devriez suivre cette file qui mène jusqu’à la potence. »
« Oh… Ok. Pourquoi pas, vu que je n’ai aucune critique sur le feu en ce moment. »
« Pardon ! Monsieur. Je suis nouveau sur le site. Qu’est ce qui se passe ? »
« Suivez cette ligne…Merci. Sacré Double-jeu…. Mais… est-ce que je … Moi ? Non. Tu ne peux pas être… Enfin… D’après Guyness. Peut-être. Je ne sais pas. Tout le monde peut être facho. »
(Le feedbackien se met à suivre la ligne, Sacré double-jeu de double-jeu ! Oh non ! Maintenant que j’y pense…)
(Le narrateur se met lui aussi à suivre la ligne.)


« Celui-ci est à approcher avec un kinder bueno. »
« J’en ai pas. Bûcher. »
« Celui-ci a critiqué l’Omerta de manière négative. »
« Mais où est passé l’entente cordiale entre camarades ? Billot. »
« Celui-ci a clamé « à mort les juifs, qu’on les pende tous par leur gros nez. »
« Euh, je sais pas. J’hésite… Billot ou bûcher ? »


« Et voilà, sacrée journée. Et un sacré bon feu. Je me sens plus bon et plus puissant mais je ne sais pas si c’est parce que j’ai sauvé le monde ou bien j’ai exercé mon contrôle impérial. Moi, j’aurais ma place au paradis, c’est sûr. Tu en penses quoi, Nal ? On en a assez « vidé » ? Nos vies ne seront plus aussi pathétiques ? »
« Sûr de sûr ! Il y en avait trop. Trop de fachos pour un si petit site. Surtout qu’il doit y en avoir encore en ce moment même ! »
« C’est vrai, et on ne les aurait pas repérés encore. 10 est un chiffre assez effrayant quand on y rajoute un zéro derrière. »
« Beurk ! »
« Et un autre. »
« Ahhh ! Il fallait que ça s’arrête. Un vivier abondant, je te dis. Un jour, on aurait été en minorité. Et tu sais ce qu’elle fait la minorité ? »
« Elle craint ? »
« Oui, elle subit tout comme des victimes. Et je ne veux pas être une victime. »
« Moi aussi. »
« Monsieur ! »
« Oh, un de mes éclaireurs. Qu’as-tu à m’apporter fidèle compagnon dont je ne lirai aucune critique ? »
« J’ai une missive pour vous. Un odieux gredin n’a pas aimé ma critique positive ! »
« Comment le sais-tu ? Nous ne faisons pas dans l’accusation facile ! As-tu vu une preuve de loin ou bien entendu une rumeur ? Parfois, ils utilisent des codes secrets - je les ai étudiés les animaux - genre, ils disent des trucs comme… « J’aime tes goûts musicaux. » ou bien « Merci d’avoir liké ma critique (clin d’œil). »
« Oui messire, les deux. J’y ai vu que le malfrat a aimé les critiques négatives de ladite œuvre. La logique étant qu’il a dû m’apposer un pouce rouge ! »
« Prochaine loi, tu écris Nal ? Ok. Prochaine loi : toutes personnes n’ayant pas mis un pouce vert sur les critiques positives, se verra sermonner. En force. Oh tiens, autre idée. Tous les pouces rouges ne seront plus anonymes. C’est mieux ça ! »
« Ça sonne bien en tout cas ! »
« Mais… monsieur le juge, ma grandeur. Si je mets un pouce rouge sur une critique de faquins, aurais-je le droit d’être gracié ? »
« Si tel est ton fantasme, petit éclaireur, je peux subvenir à tes besoins. Néanmoins, on va agir pour que les pouces rouges puissent être anonymes sur les critiques négatives. Qu’on arrête de promouvoir les affinités musicales des autres ou bien de le remercier parce qu’il a liké sa critique ! C’est indécent. »
« Mais… monsieur le juge, ma suprême force de sérénité. Si je mets un pouce vert sur une critique négative sur un écrit d'un facho, aurais-je… »
« Bon tu me casses les…. Ah mais attends, je viens de penser à un système de notation sur chaque membre ! Les classifiant… les réduisant ou les augmentant. Allons, modeste paysan. Va voir sur ma page, si j’y suis et tu as intérêt à bien me noter. »
« J’y accoure. Merci en tout cas, après le bûcher de ce matin, mes brebis à deux têtes se portent mieux. Elles vont finir par redevenir normales. Encore un et peut-être que mes éclaireurs et les vôtres naîtront avec un cerveau cette fois. »
« Ouais, ouais, merci. Bon vent. »
« Qu’est-ce qu’on racontait ? »
« Ah oui, j’étais en train de penser. T’imagines un jour, je me serai fait incendier à cause de mon appartenance reli… politique. « Ouh les salauds de gauchos, ouh ! » Je les vois tout de suite me traiter de tous les noms, me mettre sur une liste et me diffamer. Il y en a même qui ferait des critiques sur moi, mais pourquoi ça doit aller toujours dans les deux sens ? »
« Bon sang, mais dans quel monde on vit. »
« Pas dans le nôtre en tout cas. C’est pour cela qu’il faut réguler la population et le système. Ce serait cool qu’un jour on invente un site pour désigner tous ceux qui pourraient finir sur cette file, avant même qu’ils en font partie. »
« Brillant ! »
« Ce serait le Einstein de la critique, cet inventeur ! Mon Sens Critique que ça s’appellerait ! On le ferait passer pour un site où on noterait des œuvres culturelles. Mais c’est ça le piège. On utiliserait l’élément critique pour pointer du doigt les éléments néfastes. »
« Magnifique ! »
« Bien sûr, ce ne serait pas une chasse aux sorcières. »
« Oui. Evidemment. »
« Juste une petite purge. »
« Je dirai même plus, minuscule. »
(En haut de leur colline, l'idiot regarde le soleil descendre)
(Personne ne semble l'aimer. Il peut dire tout ce qu'il veut. Et ne montre jamais ses sentiments.)


Ah mais, hop ! Cette critique. C’était de l’humour. T’avais pas compris ? T’es trop con ! (Argument utilisé par Ben Laden avant l’incident des Deux Tours.)


Et au septième jour, Jusqu’auboutin avait oublié de créer l’être humain. Il en avait profité néanmoins pour créer les robots, et le septième jour il chôma, après tout l'ouvrage qu'il avait fait. « Dieu bénit le septième jour et le sanctifia car il avait chômé après tout son ouvrage de création. Telle fut l'histoire du sens et de la critique, quand ils furent créés. Repos.
Il avait oublié aussi que le 8ème jour était celui de la résurrection.


Il n'y a donc pas de bonnes décisions quant au maintien ou non du texte, entre une obsolescence induite et une mise en garde d'ordre général qui demeure. Ayant pour principe de ne jamais rien effacer (textes ou commentaires) et pour ne pas être taxé d'auteur qui n'assume pas les conséquences de ce qu'il, écrit, je prends donc la décision de le maintenir en ligne. (Enfin, jusqu’à ce qu’on le censure.)
Bisous avec les pieds.

Diegressif
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le 22 mai 2021

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Diegressif

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